Savoir adapter l’offre du sol à la demande des plantes, voilà la devise de tout bon jardinier. En résumé, analysez son sol pour savoir quel légume planter : comment reconnaitre un type de sol en quelques secondes ?
Les conseils de Lydia et Claude Bourguignon :
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Si un test d’analyse de sol permet de découvrir les teneurs en phosphore, potassium et magnésium, il est important de regarder l’état de votre terre afin de « défricher » sa composition et ainsi déterminer quel est le type de sol de votre jardin potager bio.
Si les jolis petits boutons d’or vous ravissent, ne vous réjouissez pas trop, ils indiquent un sol lourd et argileux, difficile à travailler.
Vivace nocive qui revient d’une année sur l’autre, plaie des jardiniers, le liseron des champs peut étendre ses racines sur plusieurs mètres. Arrachez-en un bout, et aussitôt de nouvelles racines se forment. Il est adepte des sols sablonneux et argileux.
Les fleurettes jaunes du coucou s’épanouissent dans une terre calcaire. Même condition de développement, pour la fumeterre, le sainfoin et le sureau yèble.
Si votre terre est acide, argileuse et mal drainée, vous avez toutes les chances de voir apparaître la prêle des champs. Réjouissez-vous, elle est efficace en purin, dans le traitement de l’oïdium.
Comment s’y prendre pour déterminer un type de sol ?
La terre réagit de diverses façons, selon sa nature, à l’effet de la pluie, de la sécheresse.
Compactez-en dans votre main en formant un boudin de terre.
Le sol argileux collera aux doigts et restera dense, le sol limoneux se tiendra bien en forme.
Un sol sableux ne formera aucun boudin, il s’effritera.
Un sol argileux devient vite boueux en hiver, et offre un jardin dur impossible à travailler en été, il se fendillera sous l’effet de la sécheresse.
Un sol sableux sera très perméable, et maintiendra au sec les racines des plantes.
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