Sélectionner une page

Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un jardin potager ou un verger idéal pour la culture, c’est-à-dire un jardin ensoleillé, à l’abri du vent et du gel, avec un sol riche et bien drainé.
En fait, il est même assez rare qu’un jardin potager ou un verger réponde à tous ces critères à la fois.
Quand ce n’est pas le type du sol (trop argileux, trop calcaire, pierreux, etc…) qui pose des problèmes, c’est son exposition ou une prédisposition aux mauvaises herbes ou encore la proximité de grands arbres ou de constructions.
Des jardins situées dans les zones de pollution et les régions côtières où le sel est l’ennemi des cultures, les terrains en pente, en cuvette, ou très exposés au vent et aux gelées, sont également à l’origine de difficultés donc il faut tenir compte.
Si vous avez des problèmes de ce genre, ne vous découragez pas pour autant. Tous les terrains sont cultivables, il suffit de savoir qu’elle est la méthode de culture qui lui convient le mieux et il faut cultiver les variétés de fruits ou de légumes appropriées.
Les manuels de jardinage traitent relativement peu de ces problèmes, peut-être parce que les auteurs partent du principe que les jardiniers ont des conditions de travail idéales au départ, ce qui n’est pourtant pas souvent le cas.
C’est pourquoi l’équipe du calendrier lunaire vous propose des solutions pour vous aider à améliorer votre jardin potager ou votre verger et ainsi le rendre plus équilibré et donc plus productif… sans oublier bien sûr l’utilité du calendrier lunaire jardiner avec la lune par emails

 

ALORS AVOIR UN BEAU JARDIN POTAGER
MÊME SUR DES SITES A PROBLEMES…

C’EST POSSIBLE !

NOUS ALLONS VOUS APPORTEZ LES SOLUTIONS.

calendrier lunaire jardin potager sites a problemes 6

 

Les sols difficiles

Le sol idéal pour la culture est une terre franche, moyennement riche de préférence, mais ce genre de sol se rencontre peu souvent.
En revanche, on rencontre plus fréquemment des sols pauvres et calcaires, qui deviennent très secs au printemps et en été, et qui ont besoin par conséquent d’un arrosage abondant ou des sols très gourmand, auxquels il faut faire des apports importants de matières organiques et d’engrais.

Les sols calcaires ne conviennent pas à la culture des légumes racines tel que la carotte et le navet. La pomme de terre, en revanche, réussit bien.
Si vous voulez faire pousser des légumes-racines, la meilleure méthode est de creuser des trous de mine là où vous voulez les planter, à 20 cm au moins de profondeur, et de les remplir avec du compost de rempotage ou de la terre franche de très bonne qualité enrichie d’engrais.
Vous pouvez aussi creuser une tranchée de 15 à 20 cm de profondeur sur la ligne de semis et la combler avec du terreau enrichi de corne torréfiée, de poudre d’os et d’algues, mélangés à de la bonne terre.
Cette opération répétée améliorera peu à peu le sol du jardin potager
La famille des choux et les légumineuses, c’est-à-dire les pois et les haricots, réussit bien dans les sols calcaires.
D’autres espèces comme la laitue, l’oignon, l’épinard, la courge, la tomate et les fines herbes donneront aussi de bons résultats si elles sont bien soignées dans votre jardin potager .
La culture des poiriers et des pêchers y est déconseillée car la chaux provoque la chlorose qui se traduit par le jaunissement et le flétrissement des feuilles.

Un autre type de sol difficile est le sol lourd et argileux, encore qu’avec un bon drainage, un bêchage en profondeur et un apport important de matières organiques, il puisse donner de belles récoltes.
Choisissez le début de l’automne pour bêcher et fumer la terre.
Étendez-y ensuite une couche de chaud sulfatée qui a la propriété de rendre l’argile moins collante. Celle-ci va alors se désagréger en surface, ce qui vous permettra de travailler la terre au râteau pour les plantations et les semis de printemps.
Ne faites pas ces semis en tout début de saison, car les sols argileux sont lents à se réchauffer.

calendrier lunaire jardin potager sites a problemes 2

Les sols légers et sableux, quant à eux, se dessèchent rapidement au printemps et en été s’ils ne reçoivent pas d’apport important de matières organiques et d’engrais.
Bien nourris, ils peuvent donner de bons résultats, surtout avec les légumes-racines qui se développent sans grande difficulté.
Les semis peuvent se faire tôt car, contrairement au sol argileux, les sols sableux se réchauffent rapidement.
Mais, choisissez de préférence des espèces qui aiment les sols très bien drainés comme la carotte, le chou-rave, la tétragone, le maïs, la tomate, la sauge, le thym et le romarin.

Les nouveaux jardins

calendrier lunaire jardin potager sites a problemes 4

Quelles conditions pour un futur jardin potager ?

Une fois leur constructions terminées, les entrepreneurs ne se soucient généralement guère de savoir dans quel état ils laissent le terrain.
En effet, nombreux êtes-vous à avoir trouvé, en emménageant dans votre nouvelle maison, un terrain jonché de débris de construction, dur et compact à force d’avoir été piétiné !
Il se peut aussi qu’il n’y est même pas assez de terre pour y faire des plantations.
Même si vous êtes tentés de faire tout de suite les semis et les plantations, l’important est de commencer par préparer correctement le terrain avant d’entreprendre quoi que ce soit d’autres.
Bêchez à deux fers de bêche pour ameublir la terre et incorporez de grandes quantités de matière organique dans les tranchées de façon à améliorer le drainage ou à aider le sol à mieux conserver l’humidité, selon les cas.
Il est essentiel, au cours de cette opération, d’enlever les racines des mauvaises herbes vivaces telles que chiendent, petite oseille, liseron, pissenlit, ortie, sureau et presle.
Retirez également tous les débris de briques et autres matériaux de construction que vous trouverez sous votre fer de bêche ou du moins le plus grand nombre possible car, non seulement ils abîmeront le sol, mais ils risquent également de vous gêner par la suite, si vous utilisez un cultivateur rotatif. Avec ce que vous aurez ramassé, vous pourrez faire les fondations d’une allée au d’une terrasse.
Si vous n’avez pas de bonne terre en surface, il faudra absolument vous en procurer.
Choisissez une terre franche plus ou moins légère, de façon à pouvoir planter toutes les espèces que vous désirez.
Cette couche de surface devra faire au moins 30 cm d’épaisseur pour les cultures de fruits et de légumes, mais elle pourra être moins épaisse à l’extérieur du jardin potager .
S’il y a vraiment beaucoup de mauvaises herbes, vous aurait peut-être intérêt à laisser le sol se reposer pendant une saison après avoir bêché et retirez-les (faux semis…), puis étendez la couche de bonne terre. Commencez ces travaux au printemps ou en été, de façon à pouvoir semer et planter au printemps suivant.
Un jardin potager à aménager présente toutefois un avantage certain qui est de vous permettre de choisir le meilleur emplacement pour les cultures de fruits et de légumes.
Ne choisissez pas automatiquement le fond du jardin comme font beaucoup d’amateurs parce que ce n’est pas nécessairement le meilleur endroit et que de toute façon, vous aurez toujours la possibilité de séparer le jardin potager du jardin d’agrément par une haie ou un treillis si vous le désirez.
Choisissez donc plutôt un endroit ensoleillé et dégagé, à l’abri du vent, où le sol est bien drainé et prenez soin d’éviter les «couloirs» de vent comme il existe souvent dans les nouveaux lotissements, notamment entre les maisons.

Les jardins en friches

Si vous reprenez un jardin potager ou un verger qui n’est plus entretenu depuis longtemps, vous rencontrerez des problèmes d’une autre nature.[private]
En effet, les jardins en friches présentent souvent un sol pauvre et fatigué : des arbres fruitiers abandonnés sont trop grands et une véritable jungle de mauvaises herbes peut avoir envahi le terrain.
Là aussi, il vous faudra être patient et attendre d’avoir bien préparé le sol pour commencer les semis et les plantations.
Attaquez-vous d’abord aux herbes sauvages. Si, en plus, vous êtes en présence de ronces, prenez le temps d’arracher les bulbes de pied de ronces. On peut également les brûler au bruleur thermique.
Bêchez ensuite à deux fers de bêche en enlevant toutes les racines des mauvaises herbes, même quand elles sont mortes, et en incorporant des matières organiques.
Profitez de ce moment-là pour tester le sol de votre jardin potager ; il existe des testeurs de sol a des prix tout à fait raisonnables.
Vous connaîtrez ainsi ses carences et vous en déduirez les quantités exactes d’engrais que vous devez mettre pour les pallier.
Si vous avez de très vieux arbustes fruitiers tels que framboisiers, cassissiers, groseilliers et fraisiers, arrachez-les et brulez-les car ils risquent d’être porteurs de maladies à virus et de ne plus produire. Remplacez-les par de nouveaux plants.
Quant aux vieux pommiers et poiriers, vous pouvez les reprendre en les taillant sur plusieurs années.
Commencez d’abord par éliminer tout le bois mort et toutes les branches qui se touchent ou qui s’entrecroisent, puis aérez le centre.
Une fois que l’arbre est nettoyé, taillez-le en gobelet, en éclaircissant progressivement sur deux ou trois ans si les branches sont trop nombreuses, jusqu’à ce que vous ayez 60 à 90 cm entre l’extrémité des charpentières.
Éclaircissez également les coursonnes sur les branches latérales en rabattant celles que vous voulez garder et en supprimant les autres.
Etalez cette opération sur deux ou trois ans si elle est trop importante.
Enfin, si les arbres sont trop grands, rabattez quelques-unes des branches les plus longues.
La première année, traitez soigneusement les arbres contre les maladies et les parasites.
Pendant la période de repos de l’hiver, faites des pulvérisations d’huile jaune, afin de détruire tous les oeufs de parasites ainsi que la mousse et le lichen qui recouvrent les branches et les troncs.
Nettoyer également le sol au pied de l’arbre sur 1 m environ de diamètre, et recouvrez-le avec une couche de fumier de ferme bien décomposé de 7 à 10 cm d’épaisseur.

Les sols gorgés d’eau

Vous n’aurez jamais de bonnes récoltes dans un sol où s’accumulent les poches d’eau pendant l’hiver et les périodes de fortes pluies.
Il sera donc indispensable que vous mettiez au point un bon système de drainage dans votre jardin potager .
Bien des espèces aiment les sols humides, ce qui ne veut pas dire pour autant qu’elles supportent les sols gorgés d’eau.
Parmi elles, notons les haricots à rames, les céleris-raves, les céleris-branches, les concombres, les endives, les potirons, les courges, les laitues, les poids, les radis, les épinards, les navets, la rhubarbe, l’angélique, le cerfeuil, la menthe, les cassissiers, les framboisiers, les mûriers, les ronces fruitières, et les actinidias.
Dans un sol très humide, vous pouvez améliorer le drainage en y incorporant de grandes quantités de sable grossier pour aérer le sol.
Les sols humides sont généralement lourds ; certains renferment une nappe argileuse à faible profondeur. Ce type de sol présente l’inconvénient d’attirer les escargots et les limaces.
Il faut donc protéger les plantations de votre jardin potager en déposant à leurs pieds des appâts pour limaces.
Surveillez également les cloportes qui s’attaquent à la base des jeunes plants ; posez des pièges en carton en fin de journée que vous relevez le matin pour les mettre au feu.

Les terrains exposés au vent

Pour bien réussir, une culture doit être à l’abri du vent.
Si votre jardin potager est très exposé, les coups de vent auront vite fait de déchirer les feuilles des plantations et de coucher par terre les espèces à tiges hautes comme le chou de Bruxelles, de faire tomber les fruits des arbres et d’empêcher les plans de bien se développer.
Pour éviter de telles catastrophes, vous devez installer un brise-vent.
Si certaines espèces de légumes, comme le chou-rave, le chou vert, le poireau, la pomme de terre, le navet et le panais, tolèrent relativement bien les emplacements exposés au vent, les arbres fruitiers, en revanche, ne sont pas du tout adaptés, à ce genre d’emplacement, du fait principalement que les fleurs ne peuvent être pollinisées correctement par les abeilles au printemps et que les palissades (pour les framboisiers et les mûriers, par exemple) ne résistent pas au vent.
Des tuteurs ne résistent pas très longtemps non plus s’ils ne sont pas solidement enfoncés dans le sol de votre jardin potager .

Les terrains ombragés

Si vous voulez cultiver des fruits ou des légumes dans votre jardin potager , mieux vaut éviter de choisir un emplacement ombragé.
Mais si cela n’est pas possible (vous ne pourrez pas faire grand-chose contre l’ombre d’un arbre ou d’un bâtiment), limitez-vous alors aux espèces tolérant l’ombre.
Le pois, l’angélique, la menthe et le persil, par exemple, tolèrent un ombrage partiel, tandis que le cresson et la laitue ne tolèrent qu’un ombrage très léger.
Parmi les arbustes, nous vous suggérons les mûriers, les groseilliers rouge et épineux, les framboisiers et les cerisiers, encore que le framboisier produise moins lorsqu’il est à l’ombre.
Toutes ces espèces peuvent être conduites contre un mur exposé au nord.

calendrier lunaire jardin potager site a problemes

Les jardins situés à proximité d’un mur

Les problèmes que vous allez rencontrer si votre jardin potager longe une maison voisine ou un mur de séparation ont des origines diverses.
L’ombre donnera des plantes chétives, à moins que vous ne choisissiez les espèces qui s’en accommoderont parfaitement bien.
Vous aurez aussi un sol sec, surtout si le mur est exposé à l’est.
La solution, dans ce cas, sera de faire un apport important de matières organiques et d’arroser abondamment la terre lorsque celle-ci commencera à se dessécher en surface.
Evitez de planter des pommiers contre un mur car ils risquent d’avoir le mildiou. Choisissez-leur plutôt un endroit dégagé.
De nombreux autres arbres, par contre, sont très bien près d’un mur, surtout si celui-ci est exposé au sud ou à l’ouest. Le mur réfléchit la chaleur qui favorise le développement et la maturation des fruits.
Les murs exposés au soleil ont pourtant un inconvénient, celui de favoriser l’apparition de certains parasites en été, en particulier l’araignée rouge qui se nourrit sur les feuilles qui jaunissent et finissent par sécher et tomber.
En cas d’alerte, vaporisez de l’eau non calcaire très régulièrement sur les feuillages afin de créer un climat humide propice à les faire disparaitre.Si ce n’est pas suffisant, achetez un acaricide, souvent à base de Dicofol, vendu dans toutes la jardineries.

Les terrains en pente

calendrier lunaire jardin potager sites a problemes 5

Un terrain légèrement en pente et exposé au sud est idéal pour la culture des fruits et des légumes.
Mais si la pente est raide, ce qui est parfois le cas, les risques d’érosion du sol se présentent souvent.
Les fortes pluies entraînent la couche de terre vers le bas de la pente avec tous les éléments nutritifs qu’elle renferme et laisse le sol en haut presque à nu.
De plus, le sol est souvent très sec, du fait que toute l’eau s’écoule vers le bas.
Il sera difficile, par conséquent, de préparer le sol dans ce type de terrain car vous devrez ramener la terre vers le haut en bêchant, ce qui représente un travail très fatiguant.
Sur un terrain en pente, la solution consiste à aménager des terrasses.
Commencez par retirer la couche de terre superficielle que vous remettrez une fois les travaux terminés.
Pour retenir ces terrasses, vous pouvez utiliser soit des rondins qui donnent un aspect très naturel, soit des traverses de chemin de fer, plus difficiles peut être à se procurer, ou bien encore construire des murets en briques, en parpaings ou en pierre, selon le matériau de votre maison.
S’il vous est impossible de faire ce genre de travaux, sous avez toujours la possibilité d’étaler des feuilles de plastiques noir au pied des plantations en guise de paillis. Cela évite que le sol s’érode, et donc qu’il se dessèche et s’appauvrisse.

Les poches de gelées

Dans un jardin potager se trouvant dans ce que l’on appelle une poche de gelée, il est préférable d’éviter de planter des arbres fruitiers car les dernières gelées de printemps risquent d’anéantir toute une floraison. Limitez-vous aux légumes rustiques d’hiver comme le chou vert, le chou d’hiver, le chou de Bruxelles, le brocoli, le rutabaga, le poireau et le panais, ou bien achetez une serre en plastique dans laquelle vous pourrez planter des espèces plus délicates comme les tomates, les aubergines, les poivrons et les melons ou fabriquez-là vous-même.

Les jardins situés en zones polluées

La pollution atmosphérique comme les gaz de pot d’échappement, les fumées d’usine et la poussière de minerai, est néfaste aux cultures.
En se déposant sur les feuilles des plantes, elle les empêche de respirer correctement et donc de fabriquer leurs propres éléments nutritifs.
Quoi qu’il en soit, même si les espèces potagères tolèrent un taux de pollution normal, il vaut cependant mieux laver régulièrement leurs feuilles au jet d’eau de façon à ce qu’elles puissent remplir correctement leur fonction.
Si vous avez une serre, veillez à ce que le vitrage soit toujours propre, car des vitres sales réduisent l’intensité de la lumière à l’intérieur de la serre et empêchent le développement des plantes.

Les jardins en bordure de mer

Si la proximité de la mer est une chose agréable pour le jardinier, elle ne l’est pas pour les plantes et peut même présenter des inconvénients majeurs.
Dans de nombreux cas, avant d’entreprendre des cultures, il est nécessaire d’installer des brises vents dans votre jardin potager pour protéger les plantes du sel que transportent les vents venant de la mer.
De plus, un sol tout près de la mer est plus ou moins salé et si de nombreuses plantes s’en accommodent, il n’en reste pas moins vrai que le sol doit être amendé régulièrement avec des matières organiques et des engrais.
Mais cela dit, avec une bonne protection, il n’y a aucune raison pour que vous ne puissiez pas faire pousser toutes sortes de plantes en bord de mer.
Dans certaines régions côtières, les gelées sont si faibles que vous pourrez même cultiver des espèces délicates en pleine terre, à condition encore une fois que votre jardin potager soit abrité.

Balcons, jardins suspendus et jardins d’intérieur

Les jardins suspendus et les balcons ont également besoin d’être protégés du vent, car celui-ci arrache non seulement les feuilles et freine le développement des plantes, mais il dessèche également la terre des conteneurs.
Dans ce cas, couvrez les jeunes plantes temporairement avec des filets de nylon à fine maille vendus sur des cadres de bois.
Quant aux cultures d’intérieur, elles peuvent manquer de lumière et donc rester chétives.
Pour remédier à cela, placez les conteneurs le plus près possible des fenêtres et tournez-les régulièrement de façon à ce que la plante ne penche pas du coté de la lumière.
Sortez-les également en été chaque fois que vous le pouvez. Vous verrez alors qu’elles se développent beaucoup mieux, surtout si vous les mettez dans un endroit abrité.
En hiver, veillez à ce que les feuilles ne touchent pas les carreaux des fenêtres pour qu’elles ne souffrent pas du froid.
Ne placez jamais non plus des plantes dans des endroits à courant d’air ni près d’un appareil de chauffage qui dégage des gaz ou du fuel.
La fumée de tabac est également néfaste aux plantes : pensez-y avant de les installer dans une pièce, un bureau par exemple.

Rappel sur l’amélioration des terres du jardin potager et du verger

La culture d’une terre peut présenter de réelles difficultés si l’un des éléments principaux qui la compose (argile, sable, calcaire ou humus) est en trop forte proportion. On peut pallier ce déséquilibre par des apports de diverses natures selon les cas :

Terres trop lourdes : apports de tourbe, de fumier à haute dose (8 à 10 kg par mètre carré) tous les trois ans, cendres tamisées, sable, matières inertes pulvérisées ; pratique de l’engrais vert.
Terres trop légères : apports de tourbe, de fumier à petite dose (3,5 kg par mètre carré), tous les ans, marne (si pH est acide) ; pratique de l’engrais vert.
Terres trop calcaires : apports de tourbe acide, de terreau de feuilles mortes et de sapinettes
Terres trop acides : apports d’amendement calcaire selon le pH

Jardin potager : Au doigt et à l’oeil !

Apprenez à identifier la nature d’une terre d’un coup d’oeil et d’une poignée de main.
Un sol très clair est généralement alcalin et calcaire ;
un sol noir, humifère et acide.
Une terre, qui s’effrite entre les doigts, est légère et sableuse ;
si au contraire, elle colle, elle est argileuse.

Toute l’équipe du calendrier lunaire est heureuse d’avoir pu vous éclairer sur l’optimisation d’un site à problème afin d’en révéler un magnifique jardin potager …

Si vous avez aimé cet article du  » jardin potager sur des sites à problèmes « ,
merci de liker, partager et/ou laisser un commentaire.

calendrier lunaire arbre coeur

[/private]

error: Alert: Contenu protégé !!