Après notre précédent article sur » l’exploration des phénomènes psy « , l’équipe du calendrier lunaire vous propose aujourd’hui une approche scientifique de la parapsychologie : dans le domaine de la telepathie et la psychokinese
APPROCHE SCIENTIFIQUE DE LA PARAPSYCHOLOGIE
L’approche scientifique de la parapsychologie utilise trois sources principales :
1. La recherche expérimentale quantitative,
2. Les phénomènes spontanés,
3. Les expériences qualitatives avec le concours de sensitifs ou de médiums (en laboratoire ou non).
LA RECHERCHES EN LABORATOIRE SUR LA TELEPATHIE ET LA PSYCHOKINESE
Grâce à des centaines de milliers d’exemples dans le monde avec les cartes abstraites de Zener utilisées par le regretté Pr Rhine à la Duke Université en Caroline du Nord et celles (plus élaborées) du laboratoire de parapsychologie expérimentale du docteur Barry (Bordeaux), on a pu découvrir en faisant varier les conditions, différents facteurs devenus classiques en telepathie, clairvoyance et même psychokinèse tels que influence de la distance, rôle des stimuli, attitude positive ou négative à l’égard du résultat…
Comme le fit remarquer à juste titre le Pr Rhine lui-même, réaliser des tests dans le seul dessein de démontrer la réalité d’une faculté Psi, est désormais une perte de temps. Il appartient aux chercheurs d’établir les lois d’un phénomène dont l’existence n’est plus à démontrer.
C’est sur l’explication scientifique des phénomènes et leurs implications pratiques que les recherches tendent actuellement.
On a pu ainsi découvrir qu’il n’y a pas d’énergie physique « transmise » dans les phénomènes de telepathie, car l’énergie physique est « corrélée » aux temps, contrairement aux phénomènes Psi. La supraconscience capte l’intention (le signifié) et non l’information (le signifiant) puis le transmet à la conscience. On ne transmet en telepathie que la sphère de l’émotionnel et sur cette onde porteuse en quelque sorte, peut se moduler la transmission de pensée. C’est ainsi que lors du vol d’Apollo 14, en Février 1971, des tests classiques entre l’astronaute Edgard D. Mitchell et des sujets sélectionnés restés sur Terre, ont donné des résultats positifs alors qu’on aurait dû s’attendre à un résultat nul, étant donné que toute émission de nature physique aurait été soumise à la loi du carré inverse de la distance. Il ne s’agit donc pas d’énergie électromagnétique.
C’est par un processus analogue que pourrait s’expliquer le don des langues qui fut accordé aux apôtres lors de la Pentecôte et qui n’est pas que la possibilité inhérente au cerveau de traduire en tant qu’ordinateur l’intention sous-jacente exprimée en quelque langue que ce soit.
Telepathie et clairvoyance agissent souvent conjointement et la difficulté de départager leurs zones d’action contraint de les ranger sous le couvert de perception extrasensorielle générale (P.E.S.G.) pour faire prévaloir un signe francophone.
A cet égard il faut citer la longue série d’expériences entre Bordeaux et Paris, dès 1968, par le Dr Barry et le docteur ès-sciences René Dufour, ancien vice-président de l’Institut Métapsychique International, avec Madame Mairie demeurant à Maison-Laffitte, un remarquable sujet mégatonne (médiumnique ou sensitif) auquel était transmise par la pensée, l’image de différents objets qu’elle reproduisait avec une grande exactitude.
Le Dr Barry a aussi montré avec Douglas Dean, ancien Président de la Société de Parapsychologie des USA, dans le laboratoire de Rhine, ainsi que dans son propre laboratoire de Bordeaux, l’existence d’un lien télépathique entre deux individus, agent et récepteur, séparés par de courtes et de grandes distances en utilisant le pléthysmographe qui permet de noter les variations du volume sanguin du récepteur lorsque l’impact informationnel le frappe.
Il a été démontré ainsi une fois de plus que la distance n’entre pas en jeu et que l’information était transmise, même si l’agent et le récepteur étaient enfermés dans des cages de Faraday.
Des chercheurs de plus en plus nombreux obtiennent des résultats en télékinésie ou mouvement des objets sans contact physique, mais soumis à l’influence de la pensée…
On peut citer pour la Grande-Bretagne Ted Bastin (de Cambridge), Julian Oissacs (de Warwick) et Arthur Ellison (de Londres) ainsi que le Pr Hasted, directeur du département de physique du Birbeck College. En France, les noms les plus représentatifs sont ceux de Charles Cussard, John Bouvaist, Olivier Costa de Beauregard, membre actif de l’ancien Institut Métapsychique International et le professeur Wolkowski. Au Danemark Richard Mattuck ; en Suisse, Welti de Berne, pour l’Allemagne, Betz de Munick et le Pr Hans Bender. Au Canada, Georges Owen, de Toronto et aux USA Ronald Hawke (Livermore Laboratories), E. Rauschen (Berkeley), Eldon Byrd (US Navy Laboratories), Wilbur Franckliun (Université de Kent). Sans oublier les importantes expériences réussies au Japon avec un sujet PK à effets très puissants (Masuaka).
Différentes méthodes et notamment celle du tube scellé, la meilleure de toutes, parce qu’elle donne les résultats les plus indiscutables, ont permis au professeur John Taylor et au physicien Eduardo Ralanovski de contrôler le pliage paranormal des métaux.
Le Pr Hasted a fait part de ses travaux sur la torsion psychique des métaux lors du centenaire de la Société de Recherche Psychique de Londres (S.P.R.) qui s’est déroulé en août 1982, dans le cadre du Trinity College de Cambridge, avec le concours de l’Association Parapsychologique américaine qui a réuni trois cents participants parmi lesquels des chercheurs de notoriété mondiale.
En utilisant le phénomène de piezo-électricité pour la mesure des micropressions psychokinésique, le Pr Hasted a constaté que 5% de sujets adultes possédaient la faculté de pliage des métaux.
A suivre…